Soin du Cheval

Notre Philosophie

En tant qu’homme de cheval, propriétaire et cavalier, j’ai fait du confort du cheval ma priorité.

20 ans d’expérience dans la pension pour chevaux m’ont enseigné que ce confort ne se résume pas simplement dans des installations spacieuses, conformes et entretenues.

Un cheval n’est pas fait pour rester au box en attendant la venue de son cavalier qui s’occupera de lui durant une ou deux heures sur une journée entière. C’est un animal d’extérieur, un herbivore qui a besoin de liberté.

Aux Ecuries d’Imasi chaque cheval est sorti tous les jours en paddock. Cette régularité donne des chevaux paisibles et sereins… et ce sont les propriétaires qui en témoignent…. Des chevaux heureux, ma plus belle récompense !

L’autre point qui me tient à cœur, c’est la santé du cheval. Et s’il y a un facteur important influençant cette bonne santé, c’est bien la nourriture.

De mon point de vue, un cheval est en santé s’il est nourri avec une nourriture de qualité et notamment un foin de qualité PREMIUM.

Je choisis mon foin avec rigueur. Un foin de qualité « cheval » n’est pas un foin « tout venant ». Il faut qu’il soit composé de luzerne, de trèfle, de fétuque, de ray grass anglais, de ray grass italien... S’il a fallu durant plusieurs années aller chercher un foin convenable parfois loin, depuis 2018, dans ma région, plusieurs dizaines d’hectares me sont réservés et ont été semés avec ce mélange spécifique de graminées et de légumineuses pour assurer aux chevaux un foin parmi les meilleurs.

Pour optimiser la ration alimentaire de mes pensionnaires, je complémente les 8 kilos de foin quotidiens avec un granulé. J’estime qu’il n’y a en France que trois fabricants d’aliment pour chevaux de qualité. Parmi ceux-là, j’ai choisi la marque Reverdy: 100% de matières premières nobles, 0% de mélasse, des céréales françaises garanties sans OGM et une considération sans faille du cheval dans sa globalité font partie des arguments parmi bien d’autres qui m’ont convaincu de choisir les granulés Reverdy à mes pensionnaires… mais aussi à mes propres chevaux.

Christophe Boulanger